Deuil périnatal : des ressources et un accompagnement sur mesure

Quand le silence pèse : comprendre le deuil périnatal

Perdre un bébé, à tout moment de la grossesse ou après la naissance, est une douleur inexprimable, une blessure qui chamboule tout. Ce deuil est souvent invisible aux yeux des autres, mais il est bien réel et profond. Chaque émotion que vous ressentez est légitime.

On vous soutient à prendre soin de vous après une fausse couche, un pas à la fois.

Vivre sans oublier : l’importance d’un soutien bienveillant

Quand l’amour dépasse la douleur : des mots qui apaisent

Consulter une thérapeute permet de créer un environnement sécurisant pour exprimer sa douleur et vivre ses émotions sans jugement. Après une fausse couche ou une mortinaissance, c’est normal de vivre une tempête émotionnelle. Un accompagnement bienveillant vous soutient à mettre des mots sur cette épreuve, mais aussi pour apprendre à vivre avec la tempête.

Quand les mots manquent : exprimer son deuil autrement

C’est humain de ressentir le besoin de s’exprimer sur une perte aussi bouleversante. Et si les mots ne viennent pas ou sont insuffisants ? Vous pouvez vivre votre deuil autrement avec la musicothérapie et par la cocréation du médium musical. Cet accompagnement différent vous permet de raconter autrement votre histoire et d’honorer la mémoire de votre bébé. 

Des ressources disponibles à toutes heures du jour et de la nuit

Notre podcast 100% douceur

Notre podcast sera de retour avec une nouvelle image en avril !

Une liste d’écoute 100% humaine

Briser la culture du silence

Les vagues du deuil peuvent provoquer des émotions intenses et en montagnes russes. Il n’y a pas de bonne façon de vivre cette épreuve, seulement votre chemin, votre rythme. On vous offre des services 100% en douceur et sans jugement.

L’injustice d’une perte : trouver un sens à l’inacceptable

 

Vivre une fausse-couche est un phénomène commun, surtout dans les 12 premières semaines de grossesse. Il est aussi estimé qu’une grossesse sur quatre se termine en fausse-couche. Mais ce n’est pas d’un grand réconfort, n’est-ce pas ?  

Je voudrais trouver les mots justes pour vous apporter du réconfort, mais ce n’est malheureusement pas possible. Toutefois, sachez que vous n’êtes pas seul.e avec vos vagues d’émotions. Parler de votre bébé, mais aussi de tout ce qu’il représentait, avec des personnes bienveillantes, est légitime. Ne pas avoir envie d’en parler est aussi légitime. Ressentir le besoin d’en parler plusieurs années après est aussi légitime. Il n’y a pas de règle à suivre, sauf celle que votre tristesse est légitime.  

Vivre un deuil périnatal, ce n’est pas juste une interruption de grossesse. C’est l’arrêt brutal d’un futur, d’un rêve, d’une vie qu’on commençait à imaginer avec cette petite âme en devenir. C’est aussi le début d’une tempête d’incompréhension, de culpabilité et de tristesse. Faire le deuil lorsqu’on se préparait à donner la vie, ça n’a pas de sens. Vos émotions sont légitimes.  

J’ai perdu mon premier bébé un 23 juin, à quelques jours de la première échographie. Le jour prévu de l’échographie de douze semaines, j’ai eu une échographie afin de valider la fausse-couche. Depuis, j’ai maintenant deux enfants merveilleux. Sauf qu’il reste mon premier bébé. Parfois, je pense à lui. Mon attachement et mes souvenirs n’ont pas disparu. 

Avec des personnes bienveillantes, on apprend à vivre avec la peine. Cette blessure devient peu à peu une cicatrice. On oublie jamais, mais on apprend à vivre avec, à notre manière. 

Carolanne

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